Baptême de Diraak

[Château du domaine - Appartement d'Iris]

Pour une des rares fois, la jeune femme se leva tôt elle avait envie d'aller retrouver sa fille sous la couette. Sa petite de 3 ans dormait a point fermé dans un grand lit lorsqu'elle la rejoignit. Les matins ou la jeune Comtesse s'allongeait près de sa fille était des moments privilégiés. Mouss regardait son ange dormir. Qu'est-ce qui était plus beau d'un enfant qui dort? Sourire au lèvre de la voir ainsi elle chuchota à son oreille pour qu'elle puisse se réveiller doucement

Ma puce, c'est un grand jour aujourd'hui...

Sur ses paroles la mère passa un doigt dans le cou fragile de l'enfant pour la chatouiller.

Les lèvres d'Iris se dessinait un léger sourire jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux.

Maman! arrrrrêêêeêêttteeeeeuh

C'est dans un éclats de rire que la mère et la fille se leva et s'habilla.

Tu te rappelle ma cocotte que ton oncle va être baptisé? Hey bien c'est aujourd'hui. Il faudra que tu sois sage... enfin sauf que tu pourra tiré la robe d'Uriel

Les yeux de la petite s'illuminait

Uielle va avoir sa belle robe!

Oui ma puce

Sur ces mots ils continuèrent à se préparer et alla vers la chapelle

[Chapelle du reposoir]

Main dans la main la petite famille entrait dans la chapelle. Mouss était contente de voir son cousin ainsi que son frère deja en place. Avant même qu'elle puisse retenir sa fille Iris alla vers Uriel et tira légèrement sur sa "robe"

Uielleee!!!!! Tu es beau!!!! J'aime ta robe! J'en veux une!

C'est dans un éclat de rire que Mouss embrassa son frère et Uriel sur les joues. Mais laissant le chapelain à la petite elle se tourna vers son frère.

Pas trop nerveux?

Tôt ce matin de mars, Jenah arriva, emmitouflée sous sa lourde cape de voyage. Elle avait eut bien du mal à retrouver le chemin du domaine, mais avait fini par s'orienter dans la bonne direction. La brune fit donc son entrée aux portes du domaine d'abord, avant d'être dirigée vers la chapelle familliale.

L'archidiaconesse vit alors Monseigneur Uriel, déjà présent, elle s'empressa d'aller le retrouver, d'un pas qui n'était pas si rapide que cela, la dame avait était bien fatiguée par la route, mais aussi par le bateau pour aller bien plus vite à l'instant. Avec son voyage dans le Nord du Royaume de France, Jenah ne l'avait vu depuis bien des jours maintenant, ainsi donc était-elle contente d'officier aujourd'hui avec son supérieur. Bonjour Monseigneur Uriel, comment vas-tu? Oui, elle le tutoyait, mais l'appelait tout de même Monseigneur, c'était ainsi, elle ne renonçait pas comme cela aux titres de ceux qui les méritaient, même si la formulation pouvait en étonner certains. Alors, ce nouvel évêque de Lausanne? Tput se passe bien, il n'est pas trop désorienté? Ainsi nous serons un peu plus au complet dans la province.

Jenah alla ensuite saluer Diraak, qu'elle n'avait pas abordé tout de suite puisqu'il était déjà fort bien entouré d'une compagnie distinguée. La brune dame saluerait ensuite l'ancienne franc-comtesse, la félicitant de ce beau domaine qui semblait bien mené.

[HRP : rp d'arrivé de la famille du val d'haine copier-coller de la grile du garde à la demande de JD Diraak]

Compliqué... toute cette histoire devenait d'un compliqué dans la tête de la brune. Et encore vous plaignez pas, imaginez si elle eut été blonde... ah non Héloïse en blonde on l'a déjà et ouf ce n'est pas elle. Quoiqu'elle s'entend plutôt bien avec aussi. Mouai bon bref.
En attendant ca ne changeait rien à la complexité des événements. Du coup, la brune était planté devant sa garde robe et hésitait entre : s'habiller en laidron pour casser toute cette histoire et en finir avant que ca n'aille trop loin parce qu'elle avait pas envie que ca finisse comme avec ses aïeulles. Mais cette option risquait d'engendrer des remarques de la part de son père et une certaine suspicion. Et puis il y avait l'autre envie, celle de plaire, celle de continuer à plaire. Non parce que elle a beau dire, mais elle s'est faite avoir. C'est ça aussi de faire croiser son chemin avec des gens qui ont les mêmes idées et les mêmes principes qu'elle, après ça donne ça. Une brune idiote qui sourit betement alors qu'elle l'a jamais fait plus de 10 sec dans sa vie et pas plus de 10 fois. La c'est plutôt 10 fois 10 sec par jour... Ca devient catastrophique. Un vrai chamallo...

Dans un grand soupir de désespoir elle s'affale dans le fauteuil qui se trouve juste la et ferme les yeux un instant. Tout le monde veut qu'elle soit heureuse mais est-ce que le bonheur résulte vraiment dans une alliance voulu de tous ? Là est la vraie question. Et puis à force de s'en poser des questions y a comme un sacré mal de tête qui monte... C'est pile à ce moment la que Constance décide de débarquer, Hellina sur ses talons. Les brunes se regardent, l'aînée jaugeant la cadette. Et sans crier gare, elle lui sort une robe qui ne ressemble en rien à des haillons évidemment.

Sans rien dire et en se taisant, pour une fois c'est à noté tout de même, Héloïse se laisse habiller d'une robe rouge au col arrondit et couvrant bien sa gorge. Elle alla ensuite s'assoir et laissa Constance attacher ses cheveux en deux tresses partant chacune d'un côté et se rejoignant au milieu. Le tout se retrouve attaché par la passe papilon offerte par sa mère... son dernier cadeau. Héloïse se regarda en haussant un sourcil, étrange de se voir les cheveux en partie détaché elle qui les a tout le temps rassemblé en un chignon pour pas qu'ils la genent. Mais pas le temps de faire une remarque son père l'appelle déjà en bas de l'escalier.

Elle se lève à la hâte et prenant sa cape, elle dévalle les marches pour se retrouver devant son père. Une fois qu'il eut commenter la tenue de sa fille, tous deux montent dans la voiture pour filer jusqu'à la demeure des Réaumont Kado'ch.

Edward arrive comment d habitude toujours en retard

pour assister au bathème de un de ces frère d arme

il vu que que c est monseigneur uriel un des dirigent de sa sœur qui allait célébrer la cérémonie

Bonjour monseigneur uriel je suis heureux de vous revoir sachez que vous avez le bonjour de ma sœur azalniole

l aspirante sergent de Narbonne dans la GE.

il fit un geste d amical a diraak son frère d armée en lui disant que

Aristote guide tes pas ,mon frère d armée

puis il ce tu pour suivre la cérémonie

Il y a des liens qui sont indéfinissables, qui se créent au fil du temps et demeurent éternellement. Celui qui unissait les nancéens était particulier, car il était de cet ordre de là.
Une demande, une invitation, un appel au secours... le cercle d'amis de l'époque répondait présent.
Ils avaient donc fait le voyage, et comme à son habitude laissa à son époux le plaisir du protocole et de s'annoncer faire aux gardiens de l'entrée. Elle s'était faufilée suivant les personnes en bel habits, se disant qu'ils devaient très certainement se rendre à la cérémonie, pour sa part la grossesse touchant à son terme, elle avait opté pour une houppelande noire rehaussée de broderies dans de jolis nuancés de mauves, parsemés de quelques fines perles.
Elle entra dans la pièce discrètement en observant si elle connaissait quelques personnes, mais en dehors de la silhouette gracieuse d'Esmira qu' aucune personnes présentes ne lui était familière si ce Uriel, qu'elle retrouvait avec plaisir et bien évidemment Diraak.
Qui pour une raison qui lui échappait, ne semblait guère à son aise ce qui était des plus étranges venant de sa part, peut être trop d'émotions......
Elle s'avança légèrement, souriante et fière du parcours qu'il avait fait jusque là, sans fautes et digne, des valeurs auquels ils avaient toujours accorder de l'importance.
Ne sachant qui était qui, elle fit de légères révérences devant les personnes dont elle voyait par la tenue l'ordre d'appartenance, et attendit sereinement.